...pacification fut puHié dans l'une et l'autre ville, avec de grandes réjouissances, le 4 avril i4°4 (2)Les Florentins se flattaient de réussir plus facilement...encore à affranchir les Pisans de la tyrannie de Gabriel - Marre Visconti. Ce nouveau seigneur , qui ne pouvoit ni protéger ses sujets , ni nuire à...

...Visconti. Ce nouveau seigneur, qui ne pouvoit ni protéger ses sujets, ni nuire à ses ennemis , augmentoit cependant les impositions , pour subvenir aux dépenses...pour soutenir une guerre à laquelle le peuple ne prenoit plus d'intérêt (i). Comme les impôts ordinaires ne suffisoient point aux dépenses du seigneur...

...Ce nouveau seigneur , qui ne pouvoit ni protéger ses sujets, ni nuire à ses ennemis , augmentoit cependant les impositions , pour subvenir aux dépenses...pour soutenir une guerre à laquelle le peuple ne prenoit plusd'intérêt (i). Comme les impôts ord inaires ne suffisoient point aux dépenses du seigneur...

...Visconti. Ce nouveau seigneur, qui ne pouvoit ni protéger ses sujets, ni nuire à ses ennemis, augmentoit cependant les impositions, pour subvenir aux dépenses...pour soutenir une guerre à » laquelle le peuple ne prenoit plus d'intérêt (1). Comme les impôts ordinaires ne suffisoient point aux dépenses du seigneur...

...difficilement à ses caprices. Incapable de protéger ses sujets , ou de nuire à ses ennemis , il augmentait cependant les impositions pour subvenir...aux dépenses de sa petite cour , et pour soutenir contre les Florentins une guerre , à laquelle le peuple ne prenait plus d'intérêt. Ces ressources...

...pacification fut publié dans l'une et l'autre ville, avec de grandes réjouissances, le 4 avril 1404'. Les Florentins se flattaient de réussir plus facilement...soutenir une guerre à laquelle le peuple ne prenait plus d'intérêt2. Comme les impôts ordinaires ne suffisaient point aux dépenses du seigneur de Pise,...

...l'une et l'autre Tille, avec de grandes réjouissances, le 4 avril 1404 '. t;t-•' « • *""" Les Florentins se flattaient de réussir plus facilement...impositions, pour subvenir aux dépenses de sa petite cobr, et pour soutenir une guerre à laquelle le peuple ne prenait plus d'intérêt 2 . Comme les impôts...