| 1851 - 396 pages
...pour me consoler, on se mocquoit de moy, et mesmes ceux qui me dévoient secourir, crioient que je faisois brusler le plancher, et par tel moyen l'on me faisoit perdre mon crédit, et m'estimoit-on estre fol... Et m'en allois par les rues, tout baissé, comme un homme... | |
| France - 1879 - 804 pages
...et de la chaleur du fourneau ; il y auoit plus d'un mois que ma chemise n'auoit seché sur mon dos ; encores pour me consoler, on se moquoit de moy, et mesme ceux qui me devoyent secourir, alloient crier par la ville que je faisois brusler le plancher ; et par tel moyen... | |
| Art - 1842 - 602 pages
...labeur et de la chaleur du fourneau ; il y auoit plus d'vn mois que ma chemise n'auoit seiche sur moi, et mesme ceux qui me deuoient secourir alloient crier...plancher, et par tel moyen l'on me faisoit perdre mon crédit et m'estimoit on estre fol.» «Les autres disoient que iecherchoisà faire la fausse monnoye,... | |
| Bernard Palissy - Science - 1844 - 492 pages
...cause du labeur et de la chaleur du fourneau ; il y auoit plus d'vn mois que ma chemise n'auoit seiche sur moy, encores pour me consoler on se moquoit de...plancher : et par tel moyen l'on me faisoit perdre mon crédit, et m'estimoit-on estre fol. Les autres disoient que ie cherchois à faire la fausse monnoyé,... | |
| Charles Jules Labarte - Art objects - 1847 - 930 pages
...encores que pour me consoler on se moquoit de moy, et « mesme ceux qui me dévoient secourir alioient crier par la •• ville que ie faisois brusler le...plancher : et par tel moyen l'on « me faisoit perdre mon crédit, et m'estimoit-on estre fol. » II ne suffit pas à Palissy de supporter des fatigues inouïes,... | |
| Jules Labarte - Art - 1847 - 892 pages
...chaleur du fourneau ; il y - avoit plus d'un mois que ma chemise n'avoit seiche sur moy, « encores que pour me consoler on se moquoit de moy, et - mesme ceux qui me dévoient secourir alloient crier par la « ville que iefaisois brusler le plancher: et par tel moyen... | |
| Art - 1847 - 454 pages
...on se moquoit de moi, et mesrne ceux qui me dévoient secourir, alloient crier par la ville que je faisois brusler le plancher, et, par tel moyen, l'on me faisoit perdre mon crédit, et m'eslimoit-on eslre fol. « Les autres disoient que je cherchois à faire la fausse... | |
| protetantisme francais - 1854 - 710 pages
...consoler on se moquoit de moy, etmesme ceux qui me dévoient secourir allaient crier par la ville que je faisois brusler le plancher : et par tel moyen l'on me faisoit perdre mon crédit, et m'estimoit-on estre fol. Les autres disoient que je cherchois à faire la fausse monnoye,... | |
| Jules Labarte - Art, Medieval - 1855 - 518 pages
...chaleur de fourneau ; il y avoit plus d'un mois que ma chemise n'avoit sieche sur moy, encores que pour me consoler on se moquoit de moy, et mesme ceux qui me devoient secourir alloient crier par la ville qui ie faisois brusler Ie plancher : et par tel moyen... | |
| Edouard Fournier - Industrial arts - 1855 - 492 pages
...se mocquoit de moy, et mesme I ceux qui me lk voient secourir alloient crier par la ville ! que je faisois brusler le plancher : et par tel moyen l'on ' me faisoit perdre mon crédit, et m'estimoit-on estre fol.v « Les autres disoient que je cherchoisà faire la fausse... | |
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