C'est vous que j'aimerai, prés fleuris, onde pure; PAGE 159, VERS 6. Et se rit du vain bruit..... Ibidem, VERS II. Le Danube en fureur vomissant des soldats, Ibidem, VERS 27. Le frère s'applaudit teint du sang fraternel, PAGE 161, VERS 25. Ainsi Rome, aujourd'hui l'arbitre des humains, O jours de l'âge d'or, jours heureux, mœurs champêtres ! DU LIVRE TROISIÈME. PAGE 191, VERS II. Osons à notre tour, par des sentiers nouveaux, SONS Dans les champs de la gloire atteindre nos rivaux. PAGE 193, VERS 15. Sur les portes je peins les exploits de César : PAGE 195, VERS 11. Et celui des rivages. PAGE 215, VERS 6. Si leur riche toison fait la pourpre des rois, Ibidem, VERS 15. Le jour au fond des bois, sur la cime des monts, Elle broute la ronce, elle vit de buissons; Et le soir, sous son toit, qu'elle sait reconnaître, PAGE 219, VERS 21. C'est là que ces mortels, près de leurs noirs foyers Où brûlent des ormeaux et des chênes entiers, Aussi grossiers que l'ours qui fournit leur parure, Dans un morne loisir coulent leur vie obscure, Passant au jeu les nuits, et bravant les hivers, Boivent un jus piquant, nectar de ces déserts. PAGE 221, VERS 18. En des flots de nectar il transforme ces eaux. PAGE 227, VERS 16. Mais non, pères, enfants, tout périt sans ressource. PAGE 231, VERS 5. L'émail d'un vert gazon, l'asyle d'un bois sombre. Ibidem, VERS 9. Dans leurs regards est peinte une morne tristesse ; Et, penché mollement, leur front s'apesantit. DU LIVRE QUATRIÈME. PAGE 261, VERS 15. Nx foule aux pieds les fleurs, et des feuilles humides Ne détache en courant les diamants limpides. PAGE 263, VERS 5. Un ruisseau transparent qui baigne leur séjour, Que l'if ne croisse pas près de leur édifice; Mais le printemps renaît, l'hiver fuit, l'air s'épure, Et l'astre des saisons rajeunit la nature; L'abeille prend son vol, parcourt les arbrisseaux; PAGE 271, VERS 21. Interrompait encor la course des ruisseaux. PAGE 277, VERS 2. Et place un nouveau roi..... PAGE 285, VERS 10. Aristée autrefois vit mourir ses abeilles : PAGE 297, VERS 4. A ses chants accouraient du fond des noirs royaumes L'enfer même s'émut dans ses cavernes sombres; Et, sensible une fois, Alecton soupira. Enfin il revenait des gouffres du Ténare, Possesseur d'Eurydice, et vainqueur du Tartare; Sans voir sa tendre amante, il précédait ses pas; Proserpine à ce prix l'arrachait au trépas. Tout secondait leurs vœux, tout flattait leur tendresse ; Soudain ce faible amant..... PAGE 299, VERS 5. Orphée, ah! cher époux ! quel transport malheureux! Dit-elle ton amour nous a perdus tous deux. : Adieu; l'enfer se rouvre, et mes yeux s'obscurcissent, Et la mort, déployant son ombre autour de moi, FIN. |