PAGE 69, VERS 19. Plusieurs font à loisir, durant les jours d'orage, Ils aiguisent leur soc..... PAGE 71, VERS 17. Trois fois le roi des dieux d'un trait les renversa. PAGE 75, VERS 9. Le ciel fond sur la terre, et..... Ibidem, VERS 19. Le dieu feu. De Rhodope ou d'Athos réduit la cime en f L'air vomit tous ses flots, tous les vents se confondent; La rive, etc. PAGE 77, VERS 17. Soudain l'onde en grondant s'enfle dans ses prisons; Le héron s'élancer de ses marais humides! PAGE 81, VERS 23. Les corbeaux même, instruits de la fin de l'orage, Et, d'un gosier moins rauque annonçant les beaux jours, Vont revoir dans leur nid le fruit de leurs amours. PAGE 85, VERS 3. Si le soleil, noirci d'une vapeur grossière, Hélas! le pampre vert protège en vain son fruit; Surtout sois attentif, lorsqu'aux bornes du monde Lorsque le grand César eut terminé sa vie, Ibidem, VERS 25. Sans cesse l'éclair brille et le tonnerre gronde. Ibidem, VERS 29. Deux fois le ciel voulut..... PAGE 89, VERS 4. Trouvera sous ses pas des dards rongés de rouille, Ibidem, VERS 26. Leur rebelle fureur ne connaît plus de frein. DU LIVRE DEUXIÈME. PAGE 120, VERS 5. VIENS, Bacchus, tout ici célèbre tes louanges: L'Automne a sur son front tressé tes pampres verts, L'ambre de tes raisins embaume au loin les airs. Ibidem, VERS 19. De tant d'arbres divers, les uns, nés sans culture, Couvrent au loin les champs, bordent une onde pure; Tels sont l'humble genêt, le pâle peuplier, Et le saule verdâtre, et le pliant osier. PAGE 121, VERS 10. Et le chêne, qui rend les oracles des dieux. Plusieurs sont entourés de rejetons sans nombre ; L'ormeau voit ses enfants s'élever sous son ombre; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier; Et du tronc maternel sort le jeune laurier. Telles furent d'abord les lois de la nature: Bientôt l'expérience étendit la culture; Là, ce jeune arbrisseau qu'on arrache à son père PAGE 123, VERS 7. Connais donc chaque plant, et quel soin lui convient, Ce que peut la nature, et ce que l'art obtient. PAGE 123, VERS 25. La grappe des oiseaux est la vile pâture. PAGE 127, VERS 22. On compterait plutôt et les sables numides, Pour tous les plants enfin tout sol n'est pas heureux : Le myrte aime les eaux, le frêne un mont pierreux, L'aune un marais dormant, le saule une onde La vigne le soleil, et les ifs la froidure. PAGE 129, VERS 29. pure, Mais les arbres du Mède, et les bords de l'Indus, PAGE 131, VERS 15. Mais ces douces chaleurs n'enfantent ni poisons, Et jamais dans nos champs une hydre monstrueuse PAGE 133, VERS 9. Toi surtout, grand César, toi dont les fiers drapeaux PAGE 137, VERS 9. Tels les champs de Capoue, et ces vallons fameux Prends sous ton toit fumeux le couloir de ton vin; PAGE 141, VERS 29. Malgré les vents fongueux, l'orage et les torrents, L'Amour dans les forêts réveille les oiseaux, Déjà son maître y court, et, reprenant le fer, Façonne le premier tes vignobles fertiles; Des Centaures jadis il souilla le repas, Et ses coupes servaient d'instrument au trépas. Ah! loin de tous ces maux que le luxe fait naître, Heureux le laboureur, trop heureux s'il sait l'être ! La terre, libérale, et docile à ses soins, Contente à peu de frais ses rustiques besoins. Il ne voit point chez lui, sous des toits magnifiques, Le fard n'altère point la blancheur de ses laines. Mais dans mon corps glacé si mon sang refroidi |