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nues,

Enfin la Fortification perpendiculaire | occasions d'apprécier la véritable valeur de Montalembert (voy.), annoncée de- des forteresses pour la défense des états. puis 1760 jusqu'en 1776, est publiée L'empereur Joseph II avait fait démanen 10 vol. in-4° de 1776 à 1786. L'au- teler, en 1782, toutes les places du Brateur prétend rendre les états impéné- bant et de la Flandre autrichienne, ne trables en les ceignant de lignes, soute- laissant à ses peuples aucun asile, à ses à la portée du canon, par des forts ennemis aucune digue. Cette mesure avait ou des places; puis rendre ces forteresses trouvé en France des admirateurs. Les imprenables en les ceignant aussi de lignes armées, disait-on, suffisent pour défensoutenues à la portée du canon par des dre les états comme pour les conquérir, forts ou des places; enfin rendre toutes ces tandis qu'une frontière fortifiée est à la forteresses imprenables en abritant sous fois onéreuse à la fortune publique et des casemates et croisant, selon des direc- inutile à la stabilité des empires. On faitions toujours perpendiculaires l'une à sait un crime à Louis XIV d'avoir bâti l'autre, assez de canons pour que l'assié- ou réparé tant de places, à Vauban d'ageant ne puisse même établir ses pre- voir enfoui dans ces travaux les trésors mières batteries. Parmi les nombreux mo- de l'état; à l'Académie Française de prodèles que lui offraient les anciennes case- poser comme sujet de prix l'éloge de ce mates, il choisit, comme Auguste II, les grand homme. On essayait de l'opposer à casemates à plusieurs étages, voûtées sur lui-même, et on s'appuyait d'un Mémoire piles d'équerre au mur d'escarpe et ou- où, pendant la guerre désastreuse de vertes du côté de la place. Ces feux case- 1701, il désignait à Louis XIV les places matés sont disposés en un vaste amphi- qu'il était le moins dangereux de sacrifier théâtre dont plusieurs enceintes concen- à la paix et à l'économie. triques forment les degrés. Fourcroy réfute Montalembert (1786) et tombe dans des exagérations d'un autre genre: il veut évaluer la force des places avec une rigueur et par des formules géométriques; il donne le système de Cormontaingne comme le nec plus ultrà de l'art, et voue au mépris toute idée neuve en fortification.

D'Arçon, déjà connu par ses batteries flottantes (voy.), entre en lice (17891795), combat avec les armes du ridicule l'utopie des places et des frontières impénétrables, et démontre les défauts du système de Montalembert; il a semé ses Mémoires d'idées neuves et ingénieuses sur la construction et l'attaque des forteresses. Dans son dernier ouvrage intitulé: Considérations militaires et politiques sur les fortifications, publié en 1795 sous son nom de Michaud d'Arçon (voy.), il a complétement développé les rapports généraux des places entre elles et avec le terrain, les armées et la stabilité des états.

Ces discussions avaient lieu vers la fin du dernier siècle; mais elles n'y forment qu'un épisode d'un faible intérêt au milieu des convulsions politiques qui en agitèrent les dernières années. Les guerres de la Révolution fournirent de fréquentes

Cependant l'expérience ne tarda pas éclairer la question. Dès les commencements de la guerre, nos places de Flandre et de Lorraine arrêtèrent les Autrichiens et les Prussiens, et préservèrent la France de l'invasion dont elle était menacée, tandis que la Belgique, privée de l'appui de ses places, succomba en peu de jours sous les coups de l'armée française. Ces faits sanctionnèrent solennellement l'opinion des souverains militaires, Auguste II, Louis XIV, le grand Frédéric (voy. FORTERESSE), qui tous s'étaient prononcés en faveur de l'utilité des places fortes. Napoléon lui-même, dans sa dernière retraite, et quand les événements de 1814 et 1815 auraient pu l'autoriser à élever des doutes, n'a pas craint de s'exprimer positivement sur la question dans le même sens que les autres guerriers couronnés que nous venons de nommer.

Mais, dira-t-on, on a maintenant le secret des guerres d'invasion: quel profit tirèrent de leurs places fortes la Prusse en 1806, la Saxe en 1813, la France en 1814 et 1815? Si, après la bataille d'Iéna, la Prusse fut frappée de terreur, si alors, comme en bien d'autres circonstances, les gouverneurs rendirent leurs places sans combat, ce n'est pas la faute des places,

c'est la faute, c'est la honte des gouverneurs. D'ailleurs en isolant les faits on les dénature; il faut tout dire : la Prusse fut envahie parce que c'était Napoléon qui l'envahissait; l'invasion de la Saxe ne réussit que parce qu'une autre invasion venait d'échouer devant Moscou. Enfin, si l'ennemi parvint au cœur de la France en 1814 et 1815, c'est qu'il est tel concours de circonstances devant lequel les prévisions de la raison humaine s'arrétent et se confondent; c'est que l'armée ennemie était une levée en masse de toutes les nations de l'Europe; c'était un million de soldats aidés par la trahison; le pays était épuisé d'hommes et d'argent. Et pourtant, malgré tant de chances désastreuses, si Paris eût tenu quelques jours, qui peut calculer les effets de cette résistance? Napoléon reparaissait, et avec lui la terreur de son nom. La confiance, ce grand ressort des destinées humaines, devait renaître; les factions se taisaient, les populations couraient aux armes, et l'étranger, réduit à la défensive, regagnait péniblement la frontière en traversant cet échiquier de places fortes qui l'auraient puni cruellement de les avoir négligées.

Si parmi les juges compétents on mettait aux voix la question de l'utilité des places, nul doute que la majorité ne fût en leur faveur. Toutefois, il ne faut pas se le dissimuler, elles comptent de nombreux adversaires. Une pareille dissidence entre des opinions éclairées et consciencieuses prouve que la question a été mal posée, mal comprise, mal résolue*. De ce chaos a surgi une troisième opinion, opinion moins exclusive, opinion fondée sur l'expérience des dernières guerres, opinion qui renferme peut-être tout l'avenir de l'art, et que pour cela nous allons exposer.

Le système actuel consiste dans une triple ligne de forteresses placées aux confins du territoire des états. Chacune d'elles a une action absolue et une action relative: l'action absolue se mesure pour toutes à la portée de leur canon; l'action relative dépend des circonstances physiques, militaires et géographiques. Si

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une seule route possible menait au cœur du pays et qu'une place forte fût à cheval sur cette route, cette place suffirait*, Mais généralement il n'en est pas ainsi : il existe entre deux places fortes un espace accessible et pourtant mal surveillé par chacune d'elles, une trouée qui peut donner accès à l'ennemi. De là les invasions. L'ennemi ayant ainsi forcé la ligne et battu l'armée mobile, il faudra tirer des garnisons des places les détachements destinés à la réorganiser. Mais comment les réunir, les appeler des extrémités du territoire, en présence d'une armée étran→ gère qui peut intercepter les communications? Le temps manque, l'ennemi marche et les traités ruineux arrivent.

Supposons maintenant que toutes ces places fortes disséminées sur un immense pourtour puissent rétrograder vers le centre, en faisant toujours face à l'ennemi: n'est-il pas vrai qu'elles se rapprocheront sans cesse les unes des autres jusqu'à ce qu'enfin il ne restera plus entre elles que des espaces infranchissables, soumis à la fois au canon de deux ou trois forteresses? L'intérieur de ce polygone rétréci formera un sanctuaire impénétrable où l'on pourra établir avec sécurité le siége du gouvernement, de la justice et de l'armée. Il faudra bien alors que l'ennemi s'attaque aux places fortes; et comme dans l'intérieur de ce périmètre toute la population active trouve un refuge, toute cette population pourra aussi contribuer à la défense; on n'aura donc en présence qu'une armée en rase campagne et une nation retranchée. Or le faisceau de forteresses, qu'est-ce autre chose sinon une immense place de guerre propre à recevoir les arsenaux, les hôpitaux, les magasins, une réalisation matérielle de cette grande unité qui fait la gloire et la force de la France? C'est le transport du siége de la vie des extrémités au cœur. Cette place aura trop d'étendue pour être bloquée : de toute nécessité il faudra combattre, et quel avantage immense que d'avoir choisi soimème et disposé son champ de bataille!

Tel est l'état actuel de la fortification (*) A cet égard, l'établissement des chemins de fer modifiera peut-être à l'avenir le système de défense d'un pays. S.

en Europe. Sans doute, si la paix pouvait régner à jamais entre les peuples; si, rapprochés par les liens des arts et de l'industrie, ceux-ci renonçaient désormais à ces rivalités sanglantes qui les ruinent et les désolent, les spéculations de la guerre deviendraient vaines: il faudrait raser les forteresses, anéantir ces monuments de haine et de défiance nationales, et remercier le ciel d'une si heureuse révolution. Mais l'expérience des siècles passés a malheureusement trop prouvé combien était chimérique le chaste vœu de l'abbé de Saint-Pierre;et le plus sûr moyen de maintenir la paix, c'est encore de se montrer prêt à la guerre, en cultivant et perfectionnant par tous les moyens possibles l'art protecteur de la fortification.

DEPOT DES FORTIFICATIONS. Cet établissement, qui existait à Paris dès 1744 sous le ministère de Voyer d'Argenson, a subi depuis cette époque diverses modifications qui ont beaucoup contribué à augmenter son importance et son utilité. Réuni dans la suite au dépôt de la guerre (voy. GUERRE), il en fut de nouveau séparé par la loi du 10 juillet 1791, qui, en établissant un comité des fortifications, institua en même temps auprès de ce comité le dépôt des fortifications. Le comité, composé des officiers généraux du corps du génie doit donner, d'après les ordres du ministre de la guerre, son avis sur les projets généraux et particuliers de toutes les places de guerre du royaume, sur la répartition des fonds qui leur sont affectés, l'instruction de l'école du génie, les progrès et la perfection des différentes branches de l'art de la fortification et sur toutes les questions que le ministre juge à propos de livrer à la discussion du comité. Le dépôt des fortifications a été créé, par la loi de 1791, pour faciliter les opérations du comité et pour mettre à la disposition de chacun de ses membres tous les mémoires et documents qu'ils peuvent avoir besoin de consulter. On y a recueilli ce qui se trouvait dans les archives du génie réunies à celles du département de la guerre à Versailles, puis on y a ajouté des copies tirées de toutes les places de France, des mémoires, atlas, cartes et plans relatifs au service du génie; et le dépôt s'enrichit en outre chaque jour de

tous les projets, rapports et mémoires particuliers, tant sur la fortification que sur la défense de la frontière, ainsi que sur les différents objets d'art concernant le service militaire. Un règlement du 25 avril 1792 a déterminé les relations du dépôt des fortifications avec le dépôt de la guerre et avec le corps des ingénieurs des ponts et chaussées. Pour la première fois, il fut prescrit à ces ingénieurs de venir discuter, devant le ministre de la guerre, avec le comité des fortifications, les projets de routes, canaux et ponts sur les frontières de terre ou de mer, qui se rattachent de si près à la défense des places fortes du royaume.

Le dépôt des fortifications publie à peu près chaque année un recueil qui, sous le titre de Mémorial du Génie, contient les mémoires, observations et rapports que produisent les officiers du corps sur les diverses parties de travaux de construction, de fortification, relatifs aux différents ouvrages dont ils sont chargés.

Du dépôt des fortifications dépend un autre établissement fort intéressant : c'est le dépôt des plans en relief des places fortes de France. Cette précieuse collection, qui fut commencée en 1660, doit son établissement à Louis XIV. Elle fut placée d'abord au Louvre, puis transférée, en 1777, à l'hôtel royal des Invalides, où elle est encore en ce moment. Elle est réunie, depuis 1801, au dépôt des fortifications. On s'y occupe de l'entretien et de la restauration des plans-reliefs existants et du complément de la collection, en exécutant des plans qui n'avaient pas encore été faits ou en reconstruisant ceux qui ont été enlevés par les étrangers en 1815, et dont plusieurs se trouvent maintenant à Berlin.

Une bibliothèque nombreuse, composée de tous les ouvrages d'histoire militaire et de ceux qui concernent toutes les parties de l'art de la guerre, est journellement ouverte à tous les officiers du génie en résidence ou en passage à Paris, qui peuvent y puiser les éléments d'instruction propres au genre d'études que chacun d'eux veut cultiver.

Parmi les travaux qui s'exécutent constamment au dépôt des fortifications, et dont la plupart ne sont pas de nature à

recevoir de la publicité, il en est qui ont été publiés et qui font honneur à cet établissement. Tel est, outre le Mémorial du Génie dont nous avons parlé, la carte de France en 4 feuilles, qui a été dressée au dépôt et gravée en 1825 sur une échelle et avec les détails convenables pour servir aux travaux du gouvernement sur la défense générale des frontières et sur les divisions territoriales relatives au service du génie, et pour faciliter l'étude des mémoires sur la défense du territoire, comme celle de l'histoire militaire considérée sous le point de vue de la défense des frontières du pays. C-TE.

FORTIFICATION (FRONT DE). C'est la partie d'une place de guerre figurée ci-dessous et comprise entre les capitales c'Ad', cBd, de deux bastions consécutifs HGBCD, EFAIJ.

Elle se compose, comme on le voit : 1o de deux demi - bastions d'AFE, dBCD et d'une courtine ED, enveloppés d'un fossé et formant le corps de place; 2o d'une tenaille; 3° d'une demi - lune et de son fossé; 4o du chemin couvert et du glacis (voy. tous ces mots). Telle est du moins la composition d'un front de fortification complet dans une place régulièrement construite.

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ED, courtine. aBb, a'Ab', angles morts. JIAFEDCBGH, ligne de feu. pose une place sont le plus souvent de forme différente; ils varient, dans le tracé comme dans le relief, suivant la configuration du terrain, les vallées qui le sillonnent, les hauteurs qui le dominent, les marais qui l'environnent, enfin les obstacles de toute espèce que la nature a répandus sur le sol et qui peuvent en favoriser la défense. Ces divers accidents du terrain exigent un tracé et un relief que les ingénieurs disposent et proportion

nent d'après les circonstances dans les différentes parties de chaque front de fortification. Vauban, qui a construit tant de places neuves, n'avait réellement pas de système: il allongeait ou raccourcissait les fronts, les faces de bastions, leurs flancs, etc., jusqu'à ce que le terrain fût bien occupé, et avec le moins de frais possible.

Quand on veut attaquer une place, comme les fronts dont elle se compose ne présentent pas tous des moyens égaux de résistance, on dirige l'attaque sérieuse vers le front qui offre le plus de chances de succès. On le désigne sous le nom de front d'attaque. C'est en avant de ce front de fortification, et dans des endroits couverts contre le canon, que l'assiégeant réunitson parc d'artillerie et les dépôts de gabions, fascines, etc., nécessaires pour l'attaque. De son côté, le commandant de la place porte toute son attention sur le front d'attaque et les fronts adjacents, et réunit tous ses moyens pour rétablir l'équilibre entre le front d'attaque et les autres.

Alors le front de fortification est attaqué et défendu par des travaux qui dépendent de la forme et de la nature du terrain : ils constituent les travaux de siége, dont nous donnerons la description au mot SIÉGE. C-TE.

FORTIN, voy. FORT. FORTUNAT (VENANTIUS HONORIUS CLEMENTIANUS FORTUNATUS), poëte latin de la fin du vre siècle, naquit en Italie, dans le lieu nommé aujourd'hui San Salvadore, situé entre Trévise et Ceneda. Il étudia dans la ville de Ravenne, où les lettres florissaient alors; il y apprit la grammaire, la rhétorique et l'art du poëte. Pendant son séjour dans cette ville, Fortunat, souffrant d'une maladie des yeux, se rendit à la basilique de SaintPaul et Saint-Jean, frotta la partie malade avec l'huile d'une lampe allumée près de la chapelle de saint Martin, et aussitôt se sentit guéri. Il en conçut une telle vénération pour le saint qu'il abandonna sa patrie pour venir dans la Gaule visiter ses reliques. Ces détails sont empruntés à Paul Diacre (II, 9). On croit que Fortunat arriva dans la Gaule vers l'an 562, sous le règne de Sigebert Ier, roi d'Austrasie, qui l'accueillit avec honneur. Fortunat, du reste, sut toujours se concilier la

faveur des rois, des évêques, des grands, en consacrant des vers à leur louange. Il y avait alors à Poitiers un monastère fondé par Radegonde, épouse de Clotaire, et placé par elle sous la direction d'une abbesse qu'elle chérissait tendrement et traitait comme sa fille. Radegonde voulut voir Fortunat, l'attacha d'abord à sa personne comme secrétaire, puis au monastère, à titre d'aumônier, dès qu'il eut reçu les ordres. Il parait que la fondatrice et l'abbesse du monastère de Poitiers oublierent souvent les ennuis du cloitre dans la société de Fortunat; et les vers du poëte prouvent que la société de la fondatrice et de l'abbesse n'étaient pas sans charme pour lui. Aussi l'envie et la malignité, qui se glissent même sous les voûtes du cloître, ont cherché à jeter du blâme sur cette douce intimité; mais l'histoire, plus juste, a lavé de tout soupçon injurieux les saintes femmes et l'aumônier poëte. Dans sa vieillesse (l'an 599), Fortunat parvint à l'évêché de Poitiers. C'est en vain qu'on l'a contesté; en vain a-t-on dit que nulle part Grégoire de Tours ne donne à Fortunat le titre d'évêque, que lui-même dans aucun de ses ouvrages ne prend ce titre : Fortunat ne parvint à l'évêché qu'après la mort de Grégoire, et tous les ouvrages qu'il composa sont antérieurs à l'an 599; au contraire, des témoignages irrécusables montrent Fortunat revêtu de la dignité sacerdotale. Notre poëte finit ses jours saintement l'an 609, et l'église de Poitiers célèbre sa fête le 14 décembre. Si l'on en croyait Paul Diacre, Fortunat ne le cèderait à aucun autre poëte (nulli poetarum secundus). Sans doute Paul Diacre n'entend parler que des poëtes contemporains, et alors nous sommes d'accord avec lui. Les poemes de Fortunat, quel que soit leur mérite littéraire, forment l'un de nos monuments historiques les plus précieux ; ils sont, pour ainsi dire, le complément de l'Histoire de Grégoire de Tours. Les œuvres de Fortunat ont été plusieurs fois imprimées. On a inséré dans le Recueil des historiens de France (t. II, p. 472 et suiv.), sous le titre de Carmina historica, tout ce qui, dans ses œuvres, porte un caractère historique. Nous avons encore du même écrivain un poëme sur la Vie de saint Martin; quelques hym

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