lerons en particulier ceux de Barrelier, de Lippi, de Tournefort. On sait que ce dernier avait légué tous ses papiers et manuscrits à l'abbé Bignon qui, à son tour, les céda à la Bibliothèque des Jussieu. Nous ne terminerons pas cette courte notice sans faire nos remercîments à MM. Labitte pour le soin qu'ils ont mis à dresser ce catalogue d'une de nos plus vastes bibliothèques scientifiques; c'était un travail qui, à raison du grand nombre d'articles à inscrire, n'était pas sans difficulté. J. DECAISNE. Paris, 24 octobre 1857. |